Un petit déterrage de Topic, ça n'a jamais fais de mal =)COUP DE COEUR : Cette été, on m'a fais découvrir un écrivain. Guillaume Musso, célèbre écrivain français de
"L'appel de l'ange" et récemment de
"7 ans après..."Mais ce n'est pas que pour lui que je suis venu deterer ce topic.
Je me suis acheté en premier lieu
"L'appel de l'ange" et je suis tombé sous le charme !
- Spoiler:
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Résumé (source wiki) : Dans la salle d'embarquement bondée, un homme et une femme se télescopent. Madeline et Jonathan ne s'étaient jamais rencontrés. Ils repartent chacun avec le téléphone de l'autre. Ils décident de consulter les appareils, une double indiscrétion qui révèle à Jonathan que Madeline et lui sont liés par une fillette du nom d'Alice, et à Madeline que Jonathan est au bord du gouffre à cause de son divorce daté de deux ans. Ils enquêtent chacun de son coté, et de fil en aiguille, ils réussissent à remettre de l'ordre dans leurs vies.
Puis par la suite, je me suis acheté "Je reviens te chercher" et "Parce que je t'aime".
Je ne m'en détache plus ! J'aime beaucoup la façon d'écrire et comment est agencé l'histoire. Les rebondissements dans certaines situation me donne vraiment l'impression que l'auteur veut marqué à jamais ses lecteurs. Combien de fois je me suis retrouvé envahie de frisson en lisant un de ses romans?
Je conseil cet auteur !
En ce moment, je viens de commencer : "
Ils partiront dans l'ivresse" de Lucie Aubrac.
Résumé (4ème page de couverture) : Ce livre est le "journal" d'une résistante. Neuf mois de la vie d'une mère de famille, enceinte d'un second enfant, professeur d'histoire et de géographie qui, à ses heures perdues, fait évader quatorze personnes (dont son mari arrêté avec Jean Moulin par Klaus Barbie), passe les douanes avec des silencieux de revolvers, ravitaille les clandestins en faux papiers et les collabos en confiture au cyanure. Une femme qui n'a jamais perdu son sang froid ni son humour, sauf le jour de son accouchement à Londres.
C'est grâce, aussi, à ce journal que Claude Berri en a fais un film.
